146 - Soyons clairs
Bon, les gens, le tact et la diplomatie, ça va bien deux minutes, mais y a des circonstances qui exigent un peu plus de, hum, comment dire, fermeté.
Le prochain qui me demande si je sais quand je viens en France, je l'épile intégralement quand je rentre. La moitié gauche à la cire trop chaude et la moitié droite à l'épilateur électrique (sans les glissières plastiques qui tendent la peau). Ou l'inverse.
La prochaine qui me demande si je sais quand je viens en France, je l'enferme pendant 24 heures avec l'intégrale de Lorie en boucle dès que j'arrive. (Quelqu'un peut me procurer une intégrale de Lorie ?)
Parce que dites-vous bien que ça me fait plus ch*er que vous de pas encore avoir tous les éléments pour choisir les dates. Il se trouve qu'il me faut savoir si j'ai un poste de TA (plus ou moins, chargée de TD) en août, et si j'ai pas ledit poste, ça va être délicat de payer les factures en septembre. Pour l'instant, c'est donc wait and see, mais s'entendre continuellement demander "alors ?", ça ne fait pas avancer le schmilblick d'un iota, ça augmente juste ma nervosité. Quand j'aurai mes billets, je m'arrangerai pour que vous soyez au courant. Je crois pas m'avancer des masses en affirmant péromptoirement que ces vacances en France sont beaucoup plus importantes pour moi que pour vous.
Merci de votre attention. Vous pouvez retourner regarder les bulles sur le fond de ce blog.